Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Dévidoir de l'âme

15 avril 2007

Je n'ai qu'une envie, celle de dégueuler ma rage

Je n'ai qu'une envie, celle de dégueuler ma rage sur notre passé. On avait un soi disant avenir. Tu as été incapable de rester constant dans tes sentiments minables... Va au diable

Publicité
Publicité
12 avril 2007

Conversation

Coline : Avant, j’étais célibataire et ça ne me dérangeait pas. Maintenant, j’ai plus de mal…

Aimelyne : Tu ne perds rien. Tu sais ce que sait, une relation sérieuse ?

Coline : Non, je n’en ai jamais eu.

Aimelyne : Au début, c’est génial. L’euphorie des premières paroles échangées, puis du premier baiser, l’attente d’un coup de fil. Il finira par arriver, les rendez-vous aussi. Suit la première nuit, suivie de beaucoup d’autres. Et puis vient l’habitude. On a plus rien à se dire. On baise pour combler les blancs. Et puis on ne se touche plus. On se détache, on s’engueule, mais on reste, on se réconcilie. C’est mort au fond. On va baiser quelqu’un d’autre, et on finit par partir avant de passer la barrière de l’auto destruction.

Si tu tiens à rester, les choses seront identiques demain, en pire. Tu finiras par sortir aux mêmes endroits, tu rencontreras toujours les mêmes personnes. Ils ont vécu la même chose que toi. Une flamme les a un jour éclairé. Mais on s’en fout, on a été heureux, on a eu une illusion alors on s’y accroche, on croit être capable de la retrouver. Foutaises.

Ce que tu penses vraiment au fond, tu t’en fiche. Ce qui compte, c’est le regard extérieur. Tu souris, alors que tu crève. Tu sauve les apparences. C’est la seule chose encore sauvable a ce niveau. Un miroir renvoie une image a un autre miroir. Il n’y a pas d’origine. Mais qu’importe. Un jour, tu finiras par craquer. Tu te pendras avec le fil de ton espoir briser, tu te raseras les poignets. D’autres croient encore aux contes de fées, et prendront de quoi dormir pour les 100 prochaines années. Sauf que personnes n’ira les réveiller. Le monde s’en fout. Pour la simple raison qu’on est tous dans la même merde.

8 avril 2007

Ouvre les yeux ^^

Le prince charmant est mort...

Et alors ?

5 avril 2007

Tant que je n'oublie pas qui je suis

Droite, les yeux qui balayent le monde, un air souriant. L'image que je me tue a donner chaque jour. Celui d'une fille fière, sans soucis, ou tout de moins qui les affronte. Coute que coute, garder cet air, cette superficialité a toute épreuve. Et tout ça, chaque jour, mais a quoi bon ? Pour ne pas qu'ils sachent. Meme lui. Il ne voudrais plus de moi s'il savait qui je suis. Alors qu'importe les efforts, je souris. Ils ne doivent pas savoir ce qu'il se passe a l'intérieur. Il ne doivent pas savoir ce que je pense, ce que je vis, ce que j'ai vécu. On en ferai un roman.

Je ne veux plus me dévoiler pour souffrir. Ne plus faire confiance. A personne. Et encore moins a soi. Pour une seule et unique raison. Parce que j'ai peur. Des autres, des réactions. Mais tant que personne le sait, je suis sauvée !?

images

31 mars 2007

Changements

Il parait que c'est interdit. Que toi et moi c'est fini. Alors pourquoi me torturer ainsi ? Pourquoi ressasser sans cesse notre passé ? Cela faisait quatre mois. Trois mois de bonheur. Plus la dessente aux enfers. Ca se dégrade, doucement. Mais qu'importe, on s'aime. Alors on reste, on s'accroche. Trop peut etre. Tu étais la seule barrière entre moi et l'autodestruction. Tout ce qu'on a vécu n'as plus eu de sens le jour ou tu m'as fait versé tant de larmes. C'est fini. Comme ça. C'est éphémère. Comme tout. Comme nous.

Ca fait maintenant deux mois et demi que c'est fini. J'ai du vivre de façon différente. J'ai connu trop de choses a ses cotés. Il a fallu que je m'habitue a etre seule. J'ai fait des conneries. Mais j'ai toujours tenu bon. Et j'ai tout recommencé. Je me suis mise a te détester. J'ai pris la solution de facilité. Je suis avec un autre. Mais je sais que, meme avec lui, ce ne sera pas pareil.

Le bonheur ne disparait pas. Il se modifie...

seule

Publicité
Publicité
22 novembre 2006

Tableau

Aimelynn3

Un fond sonore, une lumière tamisée, une ambiance d’apparence parfaite. Un seul défaut a ce beau tableau. Une jeune fille secouée de sanglots. Qu’elle est belle cette enfant ! Elle a tout pour elle… Et pourtant… Couteau tranchant, larmes de sang… Isolation totale, dépression mentale. Si seulement quelqu’une de pouvait la sauver de tout cela. L’emmener, prendre soin d’elle, l’aimer, la protéger… Il y a bien longtemps qu’elle sent l’incompréhension autour d’elle. Ce sentiment qui la torture et lui donner envie de quitter ce monde environnant. Tout est si compliqué. L’amour, la vie, la réussite, la mort… Tous ces choix paraissent insaisissables. Ils la font pourtant rêver chaque nuit. Proche des nuages, elle tente de toucher ces pensées, elle tend la main, se met sur la pointe des pieds, s’avance… Et la chute s’amorce. Celle dans la réalité. La plus fatale de ses chutes. Elle s’en tire encore plus abimée. Des blessures profondes, intérieures, douloureuses… Jolie demoiselle agonisante cherche encore son beau prince charmant…

22 novembre 2006

Je t'aime

Le temps passe emportant mes désillusions et notre amour. Entends tu ce cri sortant de ma poitrine ? Ce « Je t’aime » assourdissant qui me tue chaque fois d’avantage. L’amour n’est que destruction. Chaque soir dans tes bras me fait me demander si je ne suis pas qu’une de plus. Si Nous a une importance a tes yeux. Un jour tu m’oublieras. Tu ne penseras plus a moi. Peut être à une autre. Pourquoi pas après tout. La vie continue. Inlassablement. Je me perds en cherchant tes traces. Je voudrais tant que tu retiennes ces quelques mots, ces Je t’aime jetés au hasard du temps…

551112761

29 septembre 2006

Enfin !

photo_13067594

Les relations humaines sont si compliquées... On espere hair certaines personnes, en espérant toujours les retrouver, se réconcilier, les aimer sans se cacher, avec réciprocité. Jamais je ne me suis chachée de ce manque. Je ne l'ai pourtant pas dévoilé. Ca n'aurait pas servi. Il aura fallu une clé. Pour nous mettre sur un pied d'égalité. Pour me permettre de vous affronter. Bien que je trouve ça dommage qu'il ai fallu ce moyen, je suis heureuse de cette nouvelle situation. Saine et claire. Celle espérée et tant éloignée de moi jusqu'a ne serait ce que ce matin. l'alcool aura libérer les tensions, détruit mes peurs, m'aura guidée aveuglement. Quand on a perdu ce qui nous ai cher on a plus rien a craindre n'est ce pas ? ressentir enfin cette complicité retrouvée. Celle des meilleurs jours. La même mais en différents. Une nouvelle plus forte je l'espere, sans tabou ni arriere pensée. L'amitié dont on a tous déjà réver. Retrouver un vrai sourire, repenser a un avenir proche en commun. Quel plaisir !

Ne jamais desespéré, tout cherché pour tout trouver...

28 septembre 2006

Disputes...

La tête lourde de souvenirs, le regard vers le passé. Enfin, sur le passé commun. L’été est parti, l’amitié la suivant. L’automne pourtant chargé de promesses n’annonce que la séparation. Mais pourquoi tout ça ? Le cœur en hiver, les disputes cuisantes… Je suis bien lasse. Me répéter ne sert à rien. M’exprimer me rend il service ? Effacer tout, avec mes larmes, translucides et baccarats… les liquides se mêlent, notre histoire de dissout. Reviendra-t-elle ? Je l’espère tellement. Les bonnes raisons, celles faisant apparaître ma culpabilité, on été discutées, débattues. Nous sommes repartis, plus fort encore. Et la… des raisons, y’en a t’il seulement une ? Je voudrais m’expliquer, m’excuser, mais je ne peux pas. Je ne sais même pas que sont mes torts. Je n’ai pourtant rien fait cette fois. Pourquoi ne pas se parler calmement ? Pourquoi se déchirer sans cesse ? Vous pensez que je me plains. Il est bien facile de voir les sentiments qui me rendront que plus méprisable. Seulement, je ne me plains pas. J’observe, je pense, je constate. Si vous etes heureux comme ça, tant mieux… Malheureusement je ne vis pas de la même façon. Je ne crise pas pour rien. Je prends sur moi, pour conserver cette amitié si chère a mon cœur. Votre façon de me remercier serai t’elle de me balancer tout a la figure ? J’ai des travers, mais vous en avez aussi. Nous ne sommes pas parfaits. Que voulez-vous ? L’être humain est bien faible, peut être moi dans les premières je vous l’avoue. Mais si seulement vous pouvez défaire tant de nœuds qui emprisonne ma joie, faite-le.

154115

24 septembre 2006

(Re)Commencement

On efface tout et on recommence... Tant de commencement en une vie. Cette impression de jamais vu. Une envie folle d'etre unique. Brisé malheureusement par tous ces blogs nous entourant. Toutes ces idées nous étouffant...

Une continuité de ma vie. Un nouvel espace pour m'exprimer. Imaginaire, rêve, douleur, hurlements du coeur... Jeune demoiselle lunatique revant encore du prince charmant qui pourrait faire taire tous ces gens...

Un début, une fin. On ne sait que penser... Tout dépend du point de vue...

551112761

Publicité
Publicité
Dévidoir de l'âme
Publicité
Publicité